Judith en concert le Mercredi 9 avril au Café de la Danse !
Du 07/04/2014
Jeu concours
Judith en concert le Mercredi 9 avril au Café de la Danse !
Judith livre avec « Tombée du lit » un album libre, tout en nuances, féminin et sensuel… 13 titres nourris des expériences d’une vie d’artiste déjà bien remplie, où textes et musiques forment un ensemble harmonieux, entre utopie et désenchantement.
Il est 8 ans. Devant la télévision, Judith rêve de scène et de chansons. Elle l’annonce solennellement à ses parents, à tort.
Le rire de sa mère résonne encore. Et pourtant, quelques années plus tard, Judith entrera par la grande porte du petit écran. Mais l’histoire commence bien avant.
Petite fille d’émigrés, élevée en grande partie par un grandpère chauffeur de taxi et une grand-mère couturière, c’est
d’abord le goût du travail bien fait, c’est Brassens, Aznavour, Souchon, Cabrel, c’est Barbara dans les oreilles, c’est l’odeur
du thé à la menthe, et l’amour de la langue française, pour toujours. Ce sera très vite la danse entre coupons de soie et de dentelle, l’apprentissage du chant payé par l’argent des premiers babysittings. Puis la guitare, mais sur le tard… Car la jeune fille se refusera longtemps de toucher celle qui trône dans le salon familial, la considérant comme chasse gardée de sa mère, excellente guitariste.
La petite fille laisse place à une jeune femme rêveuse et battante. Il est 16 ans. Judith rejoint la troupe de la saison 6 de la Star Academy, « Tu vois, maman ! ». La tête, certes dans les étoiles, mais les pieds sur terre. Entre études et musique, pour Judith, la question ne se pose pas : ce sera un premier disque (Si l’on s’en souvient… sorti en 2011) et une licence de droit à la clé. Riche de ces expériences, Judith entreprend alors une aventure aussi osée qu’idéale en se lançant seule cette fois, dans l’écriture et la composition de ce nouvel album.
Il n’est que 22 ans, mais déjà une femme qui surprend par la maturité et la sensibilité de ses textes. Séductrice maudite dans « Badaboum », infirmière-philanthrope « éclopée » par l’amour, amie ambivalente dans « Les yeux de Scarlett » ou encore fiancée désabusée dans « Des larmes et des lunes ».
Des personnages, des histoires de sentiments que Judith relate et compose à travers le prisme d’une féminité qui lui
tient à coeur. « Entrez dans ma tête ! », nous enjoint-elle.
Difficile d’y résister au doux son des guitares acoustiques et de la voix suave qui nous entraîne dans un univers pénétrant, où Chagall semble avoir donné rendez-vous à Baudelaire.
Entre utopie et désenchantement, les mots de Judith font écho à notre propre histoire, nous plongent dans notre propre
nostalgie. Pour nous, une madeleine de Proust aussi bonne que douloureuse. Pour elle, une catharsis : « Les larmes sont souvent
pour moi prémices de l’écriture d’une chanson. Cela m’apaise, me soigne… Je prends ma guitare, m’assois au pied du lit. C’est
là que ma muse intervient, transformant souffrance négative en acte de création positif ». Jamais pourtant l’album ne tombe dans une noirceur injustifiée. Au contraire, l’émotion n’a de cesse de mettre en valeur les ondes positives qui motivent la jeune auteur-compositeur tout au long du disque, avec pour ultime but « la chasse au bonheur ! », dit-elle.
Un album dont les maîtres mots sont sans conteste authenticité et proximité. Pas étonnant alors que la jeune femme quitte
une grande maison de disque pour tenter l’aventure du financement participatif avec My Major Company. Elle y conquit son monde en à peine 6 jours, réunissant ainsi plus de 600 contributeurs et les fonds nécessaires à la production de son album : 13 morceaux intimistes initialement composés guitare-voix et enregistrés sur une tablette numérique à l’aide d’un kit main-libre de smartphone… C’est très certainement la sincérité de sa démarche artistique qui permettra à Judith de s’entourer de grands professionnels de la musique comme de la danse, pour réaliser son album, sans contrainte ni pression extérieure, entre amis et passionnés, avec Laurent Guéneau en maître d’oeuvre (Zazie, Sinsemilia, Grand Corps Malade), puis par la suite un premier clip sur le titre « Badaboum » avec
l’aide du binôme Pietragalla - Derouault (Théâtre du Corps).
Il est 23 ans… Eveillée très tôt aux nuances de la vie, Judith dans cet album se confesse : elle est Tombée du lit. Gloire à qui l’en poussa.
Si vous souhaitez assister à ceconcert, merci de répondre à la question suivante :
Il est 8 ans. Devant la télévision, Judith rêve de scène et de chansons. Elle l’annonce solennellement à ses parents, à tort.
Le rire de sa mère résonne encore. Et pourtant, quelques années plus tard, Judith entrera par la grande porte du petit écran. Mais l’histoire commence bien avant.
Petite fille d’émigrés, élevée en grande partie par un grandpère chauffeur de taxi et une grand-mère couturière, c’est
d’abord le goût du travail bien fait, c’est Brassens, Aznavour, Souchon, Cabrel, c’est Barbara dans les oreilles, c’est l’odeur
du thé à la menthe, et l’amour de la langue française, pour toujours. Ce sera très vite la danse entre coupons de soie et de dentelle, l’apprentissage du chant payé par l’argent des premiers babysittings. Puis la guitare, mais sur le tard… Car la jeune fille se refusera longtemps de toucher celle qui trône dans le salon familial, la considérant comme chasse gardée de sa mère, excellente guitariste.
La petite fille laisse place à une jeune femme rêveuse et battante. Il est 16 ans. Judith rejoint la troupe de la saison 6 de la Star Academy, « Tu vois, maman ! ». La tête, certes dans les étoiles, mais les pieds sur terre. Entre études et musique, pour Judith, la question ne se pose pas : ce sera un premier disque (Si l’on s’en souvient… sorti en 2011) et une licence de droit à la clé. Riche de ces expériences, Judith entreprend alors une aventure aussi osée qu’idéale en se lançant seule cette fois, dans l’écriture et la composition de ce nouvel album.
Il n’est que 22 ans, mais déjà une femme qui surprend par la maturité et la sensibilité de ses textes. Séductrice maudite dans « Badaboum », infirmière-philanthrope « éclopée » par l’amour, amie ambivalente dans « Les yeux de Scarlett » ou encore fiancée désabusée dans « Des larmes et des lunes ».
Des personnages, des histoires de sentiments que Judith relate et compose à travers le prisme d’une féminité qui lui
tient à coeur. « Entrez dans ma tête ! », nous enjoint-elle.
Difficile d’y résister au doux son des guitares acoustiques et de la voix suave qui nous entraîne dans un univers pénétrant, où Chagall semble avoir donné rendez-vous à Baudelaire.
Entre utopie et désenchantement, les mots de Judith font écho à notre propre histoire, nous plongent dans notre propre
nostalgie. Pour nous, une madeleine de Proust aussi bonne que douloureuse. Pour elle, une catharsis : « Les larmes sont souvent
pour moi prémices de l’écriture d’une chanson. Cela m’apaise, me soigne… Je prends ma guitare, m’assois au pied du lit. C’est
là que ma muse intervient, transformant souffrance négative en acte de création positif ». Jamais pourtant l’album ne tombe dans une noirceur injustifiée. Au contraire, l’émotion n’a de cesse de mettre en valeur les ondes positives qui motivent la jeune auteur-compositeur tout au long du disque, avec pour ultime but « la chasse au bonheur ! », dit-elle.
Un album dont les maîtres mots sont sans conteste authenticité et proximité. Pas étonnant alors que la jeune femme quitte
une grande maison de disque pour tenter l’aventure du financement participatif avec My Major Company. Elle y conquit son monde en à peine 6 jours, réunissant ainsi plus de 600 contributeurs et les fonds nécessaires à la production de son album : 13 morceaux intimistes initialement composés guitare-voix et enregistrés sur une tablette numérique à l’aide d’un kit main-libre de smartphone… C’est très certainement la sincérité de sa démarche artistique qui permettra à Judith de s’entourer de grands professionnels de la musique comme de la danse, pour réaliser son album, sans contrainte ni pression extérieure, entre amis et passionnés, avec Laurent Guéneau en maître d’oeuvre (Zazie, Sinsemilia, Grand Corps Malade), puis par la suite un premier clip sur le titre « Badaboum » avec
l’aide du binôme Pietragalla - Derouault (Théâtre du Corps).
Il est 23 ans… Eveillée très tôt aux nuances de la vie, Judith dans cet album se confesse : elle est Tombée du lit. Gloire à qui l’en poussa.
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