Danse, acting et mannequinat : Pourquoi choisir quand on peut faire les trois ? La réponse avec Marvin Judicael, artiste pluridisciplinaire et membre VIP de Casting.fr

Danse, acting et mannequinat : Pourquoi choisir quand on peut faire les trois ? La réponse avec Marvin Judicael, artiste pluridisciplinaire et membre VIP de Casting.fr

Danse, acting et mannequinat : Pourquoi choisir quand on peut faire les trois ? La réponse avec Marvin Judicael, artiste pluridisciplinaire et membre VIP de Casting.fr

Artiste pluridisciplinaire aussi à l’aise sur une piste de danse que devant la caméra, Marvin Judicael a connu une année 2024 bien remplie. Entre tournages de clips avec Vegedream et shootings photo pour de grandes marques, il vous partage son expérience de membre VIP Casting.fr.

Tu es un artiste pluridisciplinaire, à la fois acteur, modèle et danseur. Mais à la base, quelle est ta véritable passion ?

M.J : C’est le sport, donc la danse. J’ai commencé la danse, il y a une quinzaine d’années. C'était un loisir que je pratiquais le soir dans les bars. Je prenais une heure de cours par semaine, et c'est devenu une passion dévorante qui a pris beaucoup de place.

Qu'est-ce qui t'a poussé à poursuivre dans l’univers artistique par la suite ?

M.J : Avec le recul, je me rends compte que j'ai grandi entouré d'artistes. Dans la famille, on a des chanteurs, et beaucoup de musiciens. Il y a aussi des gens qui font de la sculpture, de la couture, de la peinture, du dessin. J'ai moi-même dessiné assez longtemps. Finalement, je n'ai pas pris cette direction au départ, mais ça a fini par me rattraper.

Tu as commencé par la danse. Parle-nous de tes débuts.

M.J : J'ai commencé en tant que loisir, puis petit à petit, je me suis professionnalisé. J'ai rapidement intégré des ateliers chorégraphiques dans les plus grandes structures de Lyon. J'ai commencé à me produire sur scène avec des équipes de danse. Peu à peu, je suis devenu l'un des danseurs les plus investis de la scène latino à Lyon, à faire de la scène, à me déplacer le week-end et à m'entraîner pour pouvoir performer. Je n'ai cessé de vouloir me perfectionner, tout simplement parce que j'adorais ça. Une fois qu'on met un pied dans la danse, c'est tout un univers, c’est une façon de s’exprimer.

Quand sont venus le mannequinat et l’acting ?

M.J : J'ai eu un certain parcours dans le milieu de la danse, ce qui m'a permis de monter sur scène assez rapidement. Par la suite, j'ai intégré des équipes de plus en plus pêchues et professionnelles, jusqu'à former un trio avec deux danseurs pour la scène lyonnaise : un danseur réputé dans le milieu et un collègue très compétitif. Grâce aux contacts que j'avais, nous avons pu nous produire dans divers événements, congrès et festivals un peu partout en Europe. Ensuite, je suis passé à l'enseignement. À un moment, j'ai senti un plafond de verre que je n'arrivais pas à franchir. Donc, il y a quelques années, j'ai décidé de tout quitter du côté professionnel – à l'époque, j'étais chargé d'affaires dans le nucléaire – pour intégrer une équipe de danse semi-professionnelle. Lorsque tu montes sur scène, tu dois transmettre des émotions au public, et ça, c'était déjà pour moi une première approche dans l'acting. Pendant ces années-là, j'avais quelques contacts dans le milieu de la mode. C'est donc un peu par hasard que je me suis retrouvé dans une agence un jour. Dans mon entourage, j’ai aussi des personnes de la profession, ce qui est assez inspirant : ça donne l’exemple et suscite même des vocations. Je faisais également de la photo avec ma sœur, donc j'avais déjà l'habitude d'être devant l'objectif. Il y a trois ans, j'ai fait un shooting pour constituer un book, avec pour objectif de me professionnaliser et de démarcher des agences et marques. C'est comme ça que tout a commencé.

Aujourd’hui, si tu devais choisir une seule de ces carrières, laquelle choisirais-tu ?

M.J: Je choisirais sans aucun doute le mannequinat. J’ai fait un certain parcours dans la danse, et j’y reviendrai dès que possible parce que j’adore ça et que ça me manque. Contrairement au mannequinat, dans lequel je n’ai pas encore fait le tour : au contraire, j’ai l'impression d'être une jeune pousse. Ça monte en puissance tranquillement, doucement. Je suis patient, travailleur, et je veux voir jusqu'où je peux aller dans ce milieu. J'ai eu l'opportunité de travailler sur certains tournages depuis le début de la saison, avec des projets vraiment sympathiques et des artistes de renom. J’ai pu explorer une facette de ma personnalité qui m'a plu, en allant toujours un peu plus loin dans l'acting. C'est aussi une carte que j’ai envie de jouer dans le domaine artistique.

L’année 2024 semble avoir été assez fructueuse pour toi, avec de nombreux projets, notamment le tournage d’un clip avec Vegedream, et plus récemment Timal. Comment as-tu décroché ces opportunités ?

M.J : Avec Vegedream, c'était une expérience assez sympa. En général, le soir, avant de me coucher, je passe en revue toutes les ressources possibles pour trouver des castings, notamment sur Casting.fr. Je pensais, en passant par une certaine agence, répondre à un casting de mannequinat. J'en étais même presque sûr. Quand on m'a contacté, on m'annonce finalement que j'ai été pris pour un clip. C'est en répondant à un casting que leur équipe a flashé sur mon profil. Ils avaient plusieurs candidats, mais ils ont dit : “C’est ce mec-là qu’on veut.” De fil en aiguille, j’ai bossé sur ce projet-là. Au départ, je n’avais aucune information, mais j’ai fini par rencontrer les acteurs, l’entourage de Vegedream et son manager, qui m'ont raconté comment mon recrutement s'était passé.

Comment te prépares-tu pour passer un casting ?

M.J : Tout dépend du casting, mais en général, ceux que je passe sont pour le mannequinat. Donc, je ne fais rien de très compliqué et je reste relativement sobre. J'opte pour une tenue simple, qui permet de voir ma silhouette, donc des vêtements près du corps avec des couleurs unies comme le noir, le blanc, un jean, des baskets. J’y vais avec le plus de naturel possible.

Une anecdote de casting à nous raconter ?

M.J : Pour mon premier casting professionnel, j’ai couru partout pour préparer mon book et l’imprimer en version papier, ce que je ne referais plus aujourd’hui. J'avais vraiment galéré pour trouver un support adapté, car en réalité, ce sont les agences qui fournissent ce type de matériel. J’avais finalement trouvé une sorte de classeur qui faisait l’affaire, mais même les imprimeurs n’avaient pas l’habitude de sortir des photos de ce type. Et le jour-J, au casting, on ne me l’a pas demandé. C’est bon à savoir quand on se forme : si on nous le demande, c’est bien d’avoir quelque chose à présenter, mais souvent, on ne nous le demande pas.

Un conseil pour les membres de Casting.fr ?

M.J : Il faut déjà s'intéresser au milieu, je pense que c'est un bon point de départ. Aussi, essayer de s’entourer de personnes qui évoluent dans ce domaine et qui font ce à quoi on aspire, que ce soit dans la danse, le théâtre, la photo ou le mannequinat. Si on a vraiment envie d'aller plus loin dans ce secteur, il est important de se renseigner afin d’éviter les pièges. Pour les castings, il faut savoir quelle tenue arborer. Il est préférable de porter des vêtements simples et près du corps, de couleur unie, avec peu de maquillage et des cheveux naturels. Connaître ses mensurations est également important, car si on nous les demande, il faut savoir les donner. Ce qu'ils cherchent, c'est quelqu'un qui puisse correspondre à l'image de la marque et porter les tenues. Il faut rester naturel et être soi-même, car derrière tout ça, ils veulent qu'on soit le vecteur d'une image, d'une vision et d'une sensibilité. Finalement, ils veulent voir qui on est vraiment.

Retrouvez toutes nos annonces de casting ici