Après Beautiul Bastard, Christina Lauren revient avec la saga Wild Seasons

Après la saga "Beautiful", Christina Lauren vend encore du rêve à toutes les femmes de la planète, puisqu'elle revient maintenant avec le premier tome d'une série de quatre livres: Wild Seasons. Et la saison 1 s'intitule: Sweet Filthy Boy, ça nous promet encore de belles histoires d'amour, mais pas que...

Sweet Filthy Boy qu'est-ce que c'est ?  C'est l'histoire de Mia, jeune diplômée et de ses deux amies qui partent en week-end à Las Vegas, jusque-là tout va bien. Mais Mia, qui est d’ordinaire une jeune femme réfléchie et posée, se retrouve mariée en une soirée et ses deux amies aussi, trop fun non? Ansel le beau français avec qui elle s'est mariée lui propose de passé l'été avec lui à Paris. Ce qui se passe à Vegas, ne reste pas forcément à Vegas.

Ce genre de roman, on le dévore tout cru. Comme la saga Beautiful, on est pris dans l'histoire et on s'identifie très rapidement aux personnages et surtout on s'y attache beaucoup. Mia tient une place prépondérante durant toute l'intrigue. On vit cette histoire avec elle, passant du rire aux larmes en un claquement de doigt.

C'est une histoire d'amour certes, mais c'est aussi la transformation d'une jeune fille en jeune femme. Mia est attachante, partagé entre son désir pour Ansel et sa vie bien rangée. Ansel, lui, est charmant en tout point. Il va éveiller le grain de folie qui sommeil au plus profond de notre cher Mia.

Ce que l'on aime c'est le fait que cette fois le personnage de l'homme soit plus en retrait, bien qu'il n'en reste pas moins très séduisant, c'est le personnage de Mia qui prend toute son ampleur dans ce roman, pour notre plus grand plaisir.

Pour Christina Lauren c'est encore une fois un succès. Casting.fr vous le recommande, donc foncez vite en magasin pour vous procuré le précieux sésame ou participez à notre jeu concours pour tenter de gagner votre livre en répondant à la question suivante. Et rendez-vous au mois de juin pour le second tome: Wild Seasons Dirty Rowdy Thing.